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L’engagement social et écologique

27 Jan 2022Nature0 commentaires

Temps de lecture : 2 minutes

Il n’est pas nécessaire d’être membre d’un parti politique ou de militer dans une association pour s’occuper d’écologie et environnement afin d’améliorer son propre impact sur l’environnement et les conditions de vie des humains sur la planète.

Il existe un large éventail de pratiques et d’engagements qui peuvent participer au progrès des droits humains et à la sauvegarde des écosystèmes.

En France le nombre de personnes qui veulent faire quelque chose pour la planète ne cesse de grandir, cela joue sur les modes de vie, crée des consommations plus durables, et transforme les conditions de travail. Au dernier baromètre Greenflex (2019), ce sont 67% de français qui déclarent avoir changé leurs pratiques de consommation, 60% qui s’estiment inquiets pour la planète et soulignent l’urgence de l’action, et 57% pensent même qu’il faut “complètement revoir notre système économique et sortir du mythe de la croissance infinie”.

Les océans sont aujourd’hui soumis à une forte pression anthropique. L’industrialisation galopante et la surexploitation des ressources halieutiques ont commencé à faire vaciller tout l’écosystème…

Une consommation durable passe par des modalités aussi variées que le choix de produits éthiques et la remise en cause du quotidien ou encore le “non-achat”. Le concept de consomacteur est bien la preuve de cette prise de conscience collective. Le comportement socialement responsable est visible dans des actes d’achat qui incluent le choix de produits labellisés (bio, commerce équitable, local, fabriqué en France…), l’utilisation de seconde main, l’inscription à une AMAP, le boycott, ou d’une manière générale l’utilisation de produits respectueux de l’environnement et des droits sociaux. Les comportements sociaux durables se renforcent aussi par le tri des déchets, l’acte de don, le partage de produits. L’espace d’action peut aller encore au-delà, avec des pratiques sociales élargies, comme le choix de la décroissance, l’organisation de manifestations, des actions anti-publicitaires, la signature de pétitions…

La taïga est une zone devenue sensible à cause du réchauffement climatique. Les incendies y sont de plus en plus fréquents.

Mais toutes ces démarches individuelles et collectives ne seront pas suffisantes à elles seules, et il est du devoir des plus gros pollueurs, à savoir les entreprises, de prendre en main leur propre responsabilité pour participer de ce mouvement pour le respect de la vie humaine et animale, et dans la lutte contre le réchauffement climatique.

L’engagement sociétale de l’entreprise est une démarche pour mener les activités au bénéfice de l’ensemble des parties prenantes : clients, salariés, fournisseurs et de la communauté élargie au delà du groupe des actionnaires.

Pour aller plus loin que les vœux pieux et le greenwashing, il faut mettre en œuvre des démarches concrètes et trouver des alliés au sein des communautés engagées pour améliorer ses fonctionnements internes au plus vite.

Cette espèce protégée, l’éléphant d’Afrique, a vu son nombre se stabiliser grâce à des zones surveillées les mettant à l’abri des dangers du braconnage.

Les entreprises et les marques qui auront dans un futur proche le soutien des consommateurs et des citoyens seront celles qui dès aujourd’hui font le choix de s’engager pour une économie centrée sur l’humain et respectueuse de l’environnement.

À la Compagnie des Aventuriers, nous avons choisi d’être partenaire de 1% pour la planète. Vous pouvez en apprendre plus ici ou directement sur leur site : www.onepercentfortheplanet.fr.

<a href="https://compagnie-aventuriers.fr" target="_self">Robin</a>

Robin

Associé fondateur de la Compagnie des Aventuriers, grand baroudeur, il a usé ses bottes surtout sur les chemins d'Asie, il retape désormais une ancienne fermette dans les Alpes après sept années dans l'Himalaya. Anthropologue de formation, il se passionne de tout, botanique, zoologie, gemmologie, écothérapie, et bien d'autres sciences. Il ne maîtrise que quatre langues mais voudrait en parler une douzaine et, au grand dam de son épouse, il collectionne les cailloux...

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